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Explorer la matière vivante de la photographie. 

Les travaux de l’artiste questionnent les limites du médium photographique et les possibles liens à tisser entre surface et profondeur.

 

Percer la surface et les limites des images pour reconnaître cette porosité intrinsèque du cadre, du monde.  La photographie y est considérée comme matériau vivant, subjectif, similaire à une mémoire humaine avec laquelle il devient possible de dialoguer.

 

Cette relation métamorphose à la photographie prend corps dans l’intervention manuelle et physique du support, invitant accidents et hasard à guider le geste artistique au fil du procédé. Travailler directement sur le matériau photosensible implique de risquer la perte définitive au bénéfice d’un chemin vers de nouveaux territoires.

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